Notre collègue Isabelle Sgambato-Ledoux vient de publier Oreste et Néron – Spinoza, Freud et le mal.
Comment penser le mal en excluant le libre arbitre ? Spinoza et Freud définissent la liberté par la compréhension des mécanismes produits en l’homme par la nécessité. Les lettres de Spinoza à Blyenbergh, analysées sous un éclairage freudien, permettent de construire une réponse à ce problème.