Jusqu’au seuil des années 2000, l’enseignement de la philosophie était, en France, cantonné aux seules classes terminales des séries générales et technologiques. À cette date, et de façon « spontanée », c’est-à-dire sans consultation ni sollicitation des autorités pédagogiques de tutelle, des enseignements divers revendiquant leur attache à la philosophie ont vu le jour, d’abord dans le périmètre des classes du lycée – seconde et première – puis au collège, voire dans certaines classes de l’enseignement primaire.
Ce communiqué de l’inspection générale cherche à interroger les pratiques regroupées sous le nom de « discussion à visée philosophique »